Je commence l’intervention par une mise en scène, qui a pour but de créer un état émotionnel. Les participants sont ensuite invités à commenter cet état pour comprendre pourquoi il a réagi ainsi.
Je mets ensuite en place différents pôles d’animation et propose au groupe de se diviser.
À leur disposition une enveloppe et peu de consignes, mon objectif et de leur laisser analyser le contenu de et ainsi deviner les consignes.
À travers ces exercices, je fais appel à leur bon sens, à leur logique.
Le fait de pratiquer concrètement leur permet de vivre l’action et de se rendre compte de leur état émotionnel.
À la fin des ateliers, nous faisons une synthèse de ce qu’ils ont découvert et compris.
L’intervention se passe donc de manière ludique alliant jeux et théorie.
À la suite de cette intervention, j’ai demandé aux participants de me faire un retour concernant ces deux heures partagées avec moi.
Ce qui revient sur tous les témoignages c’est le fait que deux heures c’est trop court et assez frustrant et je suis entièrement d’accord avec eux. En deux heures je survole le sujet qui mériterait d’être plus approfondi, j’ai emmené des multiples outils et supports que je n’ai malheureusement pas pu présenter, au grand regret de certains. Revient également le fait qu’ils ont apprécié le côté ludique et dynamique de l’intervention.
Parait-il que, je suis souriante et que je sais mettre mon public à l’aise.
Beaucoup de compliments qui me touchent et m’encouragent à continuer dans cette voie.
À la vue du succès de ces interventions, il est possible que la Ligue de l’enseignement en programme une autre, affaire à suivre…